Vous avez passé un bon Noël ? Trop bon même ? Un peu trop abusé des bonnes choses ? Le souci est que c’est dans un mois, en janvier, (selon une étude présentée dans cette réclame Apple) le moment de l’année où le plus de personnes se démotivent et se laissent aller, décidant qu’il était trop difficile de se remettre en forme.
Et c’est bien entendu là qu’intervient la pomme : avec une Apple Watch au poignet, vous allez retrouver la motivation rapidement, grâce aux incitations de la tocante à vous bouger le popotin ! Si l’on peut ne percevoir dans cette pub qu’une vilaine volonté de vous faire acheter une montre Apple (nooooon, loin de Cupertino cette idée, voyons...), elle a au moins le mérite de rappeler qu’il faut tout de même faire un minimum attention, et que même si vous avez un peu abusé des repas, rien n’est inéluctable... et au pire, si l’achat de l’Apple Watch ne vous a pas fait perdre de poids, elle aura allégé celui de votre portefeuille !
Lancée au début de l’été, la Galaxy Ring pourrait bientôt avoir droit à une nouvelle version. DigiTimes affirme que Samsung prépare un évènement Unpacked pour le 22 janvier à l’occasion duquel sera présentée la gamme Galaxy S25. La Galaxy Ring 2 serait également de la partie, apportant de nouvelles tailles et quelques améliorations.
Cette révision serait proposée en 11 tailles, contre seulement 9 pour le modèle actuel. Une telle diversité devrait lui permettre de toucher un public plus large. Les données de santé seraient plus précises, tandis que Samsung lancerait des fonctionnalités d'IA améliorées. Enfin, l’autonomie devrait dépasser les sept jours de la première version. On peut imaginer que la sortie aura lieu à l’été prochain, quelques mois après la présentation.
La première version de la Galaxy Ring a reçu un bon accueil de la presse, qui a loué son format et son suivi santé. La bague reste cependant incompatible avec les iPhone et ne fonctionne à 100 % qu’avec les téléphones Galaxy. Certaines données liées à l’IA et un geste de doubles pincements ne sont pas disponibles sur les smartphones Android d’autres fabricants.
L’évènement Unpacked devrait aussi être l’occasion d’en savoir un peu plus sur les lunettes Samsung, qui semblent être une alternative aux Meta Ray-Ban. Le point important devrait être le Galaxy S25, nouveau modèle haut de gamme du coréen mettant l’accent sur les capacités d’IA. Le téléphone serait également Qi2, avec une partie magnétique embarquée dans les coques tierces pour fixer les blocs de charge.
Meta a visiblement eu une bonne saison des fêtes aux États-Unis. L’application compagnon pour ses casques Quest est actuellement la plus téléchargée de l’App Store US dans la catégorie des apps gratuites. On peut imaginer que la sortie au tarif abordable du Meta Quest 3S a aidé à donner un coup de pouce aux ventes.
Les ventes sont visiblement un peu plus moroses en France, où l’app n’est qu’à la centième place du classement des téléchargements des apps gratuites. C’est ChatGPT qui est l’application gratuite la plus installée de l’Hexagone, suivie par différents réseaux sociaux. On peut noter que Garmin Connect se place en 15e place, suivie par la PlayStation App en 22e position.
Le Quest 3S est un casque de VR qui a comme principal argument son tarif abordable de 330 €. Il dispose de la même puce que le Quest 3 et offre l’accès à la même ludothèque, qui s’est considérablement enrichie au fil des années. Bien qu’il réutilise les lentilles du vieillissant Quest 2, c’est un produit sans défaut majeur qui fait office de bon gadget pour jouer ou consulter du contenu.
L’entreprise de Mark Zuckerberg cherche à faire de ce casque un hit, et pour cause : son dernier gros succès en date est le Quest 2 de 2020. Le Quest Pro a fait un four tandis que des rumeurs affirment que Meta a réduit ses commandes de Quest 3 fin 2023. Meta n’en aurait vendu qu’environ un million au mois de juin, soit bien moins que son prédécesseur.
Peut-on utiliser une Apple Watch sans iPhone, avec un smartphone Android ? Oui… et non. Abishek Muthian l'a tenté, et explique ce qu'il est possible de faire, mais aussi ce qui ne fonctionne pas.
Premièrement, il a eu besoin d'un iPhone pour la première configuration. Il est en théorie possible d'utiliser une Apple Watch sans iPhone avec le programme de configuration familiale, mais cette solution nécessite un opérateur compatible (ils sont rares) et certaines fonctions sont inaccessibles, comme l'ECG. Et comme une des choses que voulait Abishek était justement les fonctions liées à la santé, il a dû acheter un iPhone reconditionné.
Quelques limites
Après avoir configuré l'Apple Watch avec un iPhone et transféré la carte SIM de ce dernier vers un smartphone Android, l'Apple Watch cellulaire fonctionne… mais uniquement en partie. Les appels depuis la montre sont disponibles, mais pas les SMS, qui reposent visiblement sur l'iPhone. Pour les notifications, il utilise les services de Pushover : un script lit les notifications sur son smartphone Android et les envoie ensuite vers la montre en passant par le service en question.
Pour les calendriers, la synchronisation du calendrier Google avec les outils d'Apple a suffi, via CalDAV. Il utilise aussi des calendriers autohébergés, qui se synchronisent avec le même protocole. De la même façon, il est possible de synchroniser les contacts avec CardDAV, un standard, tout comme les rappels.
Pour un usage classique de l'Apple Watch, les fonctions citées suffisent. La montre est ensuite capable de prendre en charge tout ce qui est lié à la santé en local, sans que l'iPhone lié — qui reste obligatoire — soit allumé. Malgré tout, il faut bien prendre en compte que les mises à jour de la montre, la connexion aux réseaux Wi-Fi ou l'installation d'applications nécessitent un iPhone. La démonstration d'Abishek Muthian peut être vue de deux manières : pour certains, elle prouve qu'il est possible de se passer d'un iPhone jusqu'à un certain point. Pour d'autres, elle montre que c'est assez vain — il a d'ailleurs dû acheter un iPhone, rappelons-le — et qu'une montre sous Wear OS (par exemple) est probablement un choix plus adéquat.
Les casques Shokz connaissent un succès grandissant auprès des sportifs. La promesse de pouvoir écouter de la musique ou des podcasts sans être coupé du monde extérieur est un argument qui semble faire mouche auprès de cette population. Cela peut à la fois se comprendre et surprendre quand on sait que les AirPods permettent d’être en contact avec l’environnement qui nous entoure à l’aide des modes Transparence et Adaptatif.
Le design des casques Shokz peut à première vue étonner. On a une petite appréhension au moment de les mettre, et on se demande surtout comment les enfiler. On peut également avoir toute une série de craintes : de les perdre, qu’ils soient gênants lors d’une pratique sportive… C’est un peu surprenant au début, mais on prend très vite le pli : on les oublie très rapidement. Après tout, ils ne pèsent que 30 grammes.
Prise en main
Tous les casques Shokz fonctionnent de manière similaire et sont assez simples à prendre en main. Derrière votre oreille droite, vous avez accès à deux boutons pour contrôle le volume. Le volume + sert aussi à allumer et éteindre l’appareil. Au démarrage, un appui prolongé permet également de lancer l’appairage en Bluetooth.
De l’autre côté, vous avez accès à un bouton multifonction permettant de …
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