La marque Puma entre sur le terrain des montres connectées, elle s'est alliée à Fossil pour la fabrication et c'est le Wear OS de Google qui anime l'objet.
De forme ronde, le boîtier de 44 mm est en nylon alors que la concurrence utilise plus souvent des matériaux comme l'aluminium et l'acier. À taille de boitier équivalente, une Series 4 pèse 36,7 grammes contre 28 grammes seulement pour la Puma. Son écran devrait être de bonne qualité, il est de type AMOLED.
Pour le moteur c'est la plateforme Snapdragon Wear 3100 de Qualcomm, lancée il y a un an qui est utilisée. Elle est supposée offrir une autonomie assez confortable : Puma annonce plus de 24h, ce qui est très correct mais pas époustouflant et 2 jours en mode d'économie d'énergie.
La montre saura mesurer la fréquence cardiaque et on pourra l'emmener en piscine. Pour la connectivité, c'est uniquement du GPS. Son tarif de 279 € la place au niveau d'une Series 3 (299 €).
Mais il y a fort à parier qu'on n'hésitera pas entre l'une et l'autre. Il n'y a pas d'intérêt fort à aller vers une montre Android lorsqu'on est sur iPhone, ni à vouloir une Apple Watch si l'on ne jure que par les smartphones Android.
Cette Puma Smartwatch sera en boutique au mois de novembre, en trois variantes : noire, noire et jaune et or rose et blanc.
L'équipementier n'est pas le seul dans son domaine à se frotter aux montres connectées, Adidas a fait de même en cessant ses développements propres et choisissant Fitbit comme partenaire. Et c'est sans compter l'association entre Nike et Apple qui remonte à l'époque des iPod.